En général, une entreprise consacre entre 6 et 21 % de ses revenus annuels au marketing et aux ventes. Que ce soit en interne, par l’intermédiaire d’une société de marketing ou par le biais du département des ventes. Il s’agit d’un investissement important pour toute entreprise. Si vous faites appel à une société de marketing, veillez à choisir celle qui convient le mieux à votre entreprise. Continuez à lire si vous voulez en savoir plus.

Expérience du secteur et adéquation culturelle !

Vous serez toujours un expert dans votre domaine, et l’agence de marketing que vous choisissez sera toujours un expert en marketing. L’une des compétences les plus importantes des agences est leur capacité à s’adapter à différents types d’entreprises et d’industries. Par conséquent, l’agence de votre choix ne doit pas nécessairement avoir de l’expérience dans votre domaine. Cependant, il est préférable d’opter pour une agence de marketing qui connaît votre secteur, vos clients, vos clients potentiels, les meilleurs canaux de communication avec eux et les messages marketing auxquels ils sont susceptibles de répondre.

Vous ne devez pas vous sentir obligé de choisir une agence créative sophistiquée pour votre marketing. La créativité est importante, mais assurez-vous que l’agence que vous sélectionnez peut confirmer qu’elle comprend vos attentes, vos objectifs spécifiques et votre activité. Les agences axées sur le design peuvent vous impressionner par leur créativité, tandis que les agences axées sur les résultats peuvent vous impressionner par leurs résultats, tels que la génération de prospects, le trafic sur le site Web et les conversions.

Vous devez également tenir compte de la taille de l’agence. Pour les petites et moyennes entreprises, le choix d’une grande agence est probablement la dernière priorité. Consultez Perceptiom pour plus d’informations.

Demandez-vous avec quelle équipe vous aimeriez travailler !

Les agences sont spécialisées dans différents domaines du marketing, alors réfléchissez à ce que vous voulez réaliser. Par exemple, votre priorité absolue est-elle de créer un site web pour générer des prospects pour votre équipe de vente ? Ou voulez-vous simplement que l’agence s’occupe de la fonction marketing ? Pour une technique spécifique, comme l’automatisation du marketing, avez-vous besoin d’une agence spécialisée ? Votre stratégie marketing dépendra également du fait que vous opérez sur un marché B2B ou B2C, car les deux ont des stratégies marketing différentes.

Outre l’efficacité de l’agence et les services qu’elle propose, un facteur important dans le choix d’une agence est sa compatibilité avec la culture de l’entreprise. Vous confiez l’avenir de votre entreprise à cette équipe, vous devez donc faire appel à votre intuition et à votre jugement. Peut-on leur faire confiance ? Travaillent-ils de la même manière que moi et mon entreprise ? De quoi sera composée l’équipe ? Avez-vous un seul spécialiste du service à la clientèle ou avez-vous besoin d’une équipe de plusieurs personnes ? Dressez une liste de vos attentes vis-à-vis de l’équipe de marketing de vos rêves. Cela vous aidera à réduire vos options.

Une fois que vous avez répondu aux bonnes questions pour choisir une agence, l’étape suivante consiste à rechercher les « signaux d’alarme » avant de vous engager.

Définissez votre budget !

Avant d’accepter une offre, il est important de définir et de ventiler votre budget. Quel est votre budget marketing total ? Quel pourcentage de ce montant sera alloué aux coûts des médias ? Quel montant sera alloué à la production ? Plus votre budget sera clair, mieux vous saurez avec quelle agence marketing travailler et quels services choisir ou rejeter. Lorsque vous établissez votre budget, n’oubliez pas que les dépenses doivent être proportionnelles à la taille de votre entreprise. Dépensez là où vous pouvez maximiser les profits et minimiser les risques. Le budget marketing peut être ventilé dans les domaines suivants : coûts des médias, coûts de production, frais d’agence et autres.

Paul Morlet a apporté d’énormes changements sur le marché français de la lunetterie. En raison du prix attractif de ses lunettes, il a pu conquérir une large population. En fait, aller de l’avant est objectif simple et précis de cet entrepreneur visionnaire et intelligent. C’est un chef d’entreprise qui entretient des relations étroites avec les employés et aime établir de bonnes relations avec les clients. Les lunettes qu’il livre sont produites dans la même usine que le grand vendeur de lunettes. En seulement 10 minutes, les clients peuvent avoir leurs propres lunettes. Ce concept facilite le quotidien de nombreuses personnes.

Paul Morlet : qui est-il ?

Paul Morlet est un entrepreneur qui est encore jeune et qui vend des lunettes à des prix très concurrentiels. À seulement 27 ans, il n’a pas hésité à rivaliser avec les leaders de la vente de lunettes. En 2004, il a investi des millions d’euros pour diriger sa propre entreprise. C’est un jeune homme qui ose conquérir, mais il reste prudent quant à l’expansion de l’entreprise. Comme tous les opticiens, Paul Morlet achète des montures pour ses lunettes en Chine. Ses produits sont parmi les meilleurs de France. C’est vraiment incroyable de voir un jeune homme entrer sur le grand marché et ne pas avoir peur de prouver ce qu’il veut vraiment en tant qu’homme d’affaires. Cet entrepreneur est un modèle pour quiconque souhaite investir dans une entreprise et n’a pas peur des défis. En 2018, ses 8 magasins d’optique sont ouverts en France. Vous pouvez cliquer sur ce lien pour plus d’informations.

Quel est le secret de son succès ?

Paul Morlet management est née d’un concept assez simple mais convaincant : des lunettes prêtes à 10 euros en 10 minutes. C’est une tâche presque impossible, mais il sait comment le faire. Ses lunettes à bon marché ont gagné la faveur d’un grand nombre de personnes sur le marché des lunettes. Son secret est d’oser avec confiance apporter de nouvelles choses sur le marché. Son modèle économique consiste à vendre un grand nombre de lunettes avec une faible marge bénéficiaire au niveau commercial. Il faut beaucoup de courage pour faire une telle entreprise, surtout quand on est encore jeune. À l’aide d’un logiciel, il a pu envoyer du spam à d’innombrables comptes Twitter. Cela l’a rendu largement connu dans le monde du marché. Paul Morlet a également envoyé une paire de lunettes aux stars pour faire remarquer le monde entier. Optimiser la visibilité de sa jeune entreprise est un véritable moteur. Sur Internet, ces lunettes font le buzz, et c’est ainsi que les commandes ont considérablement augmenté. Avec ses partenaires commerciaux, le chiffre d’affaires a atteint des millions. Le secret de son entreprise est de rester en contact étroit avec ses employés et de les pousser à accéder aux objectifs fixés pour la réussite de l’entreprise.

Paul Morlet : un attrait régional

Ce jeune entrepreneur qui a reçu le soutien financier de Xavier Niel, que son secret est simple : une marge bénéficiaire normale qui est loin de la pratique actuelle dans l’industrie. Le problème est que l’opticien fixe le prix en fonction du niveau de remboursement de l’au pair. Cela n’a qu’un seul effet, c’est de faire monter les prix. Même avec une baisse significative des marges bénéficiaires, lunettes pour tous ne peut pas percer le marché de cette manière sans une revue approfondie de l’organisation de vente de lunettes. Dans chaque magasin, les clients peuvent le faire en moins plus de 30 minutes. Les lunettes doivent être équipées dans un délai court. Si le client a une ordonnance, l’achat peut être effectué dans les quinze minutes. Sur place, le robot de découpe ultra-précis taille le verre directement devant le client. Au préalable, un choix doit être fait parmi les 400 montures disponibles. C’est une capacité de répondre à 80 % des corrections. Leur volume de vente se situera entre les 200 à 250 paires prévues par le magasin de Toulouse pour devenir deux paires dans une lunetterie traditionnelle. Et ce qui leur permettra également d’obtenir des remises sur l’achat de lunettes.

Quels conseils donner à tous les entrepreneurs ?

Paul Morlet n’a pas vraiment de grands secrets pour dévoiler le succès de son entreprise. Il ne peut que dire à tout futur entrepreneur que pour réussir, tout ce que vous faites doit être déterminé. Il a dit que les entrepreneurs ne devraient pas avoir peur et doivent relever le défi de toute façon. Pour lui, il est également très important d’avoir un partenaire commercial pour subventionner l’entreprise, car pour démarrer une entreprise, il faut aussi un certain capital. Lorsqu’on démarre une entreprise comme Paul Morlet, l’audace est de mise. Pour une visibilité rapide, vous pouvez également collaborer avec des célébrités qui peuvent publier votre produit via leurs comptes de réseaux sociaux comme Instagram. Il faut souligner que beaucoup ne peuvent pas réussir en suivant le même chemin et la même philosophie, mais l’important est de commencer.

Le système des intendances en Nouvelle Espagne et son ordonnance de 1786 ont fait l’objet de nombreuses études. Mais pour comprendre le fonctionnement de l’institution, l’étude des hommes reste à faire. Nos objectifs sont d’établir un profiltype via la méthode prosopographique et de reconstituer les cercles relationnels des intendants afin de mieux saisir comment naît une carrière d’intendant. Notre étude porte ici sur les intendants mexicains.
Cinq hommes eurent en charge l’intendance de Mexico de 1786 à 1821: Fernando Mangino, Bernardo Bonavía, Francisco Manuel Arce, Manuel Merino et Ramón Gutiérrez. La durée en charge des intendants est très variable : Mangino et Merino sont restés en charge moins d’un an ; Arce quatre ans et Bonavía cinq. Seul Gutiérrez est intendant de Mexico plus de dix ans. Nommé en 1810, il est maintenu dans ses fonctions au moment de l’indépendance du Mexique en 1821. L’âge moyen d’entrée en charge se situe autour de la cinquantaine. Il s’agit donc d’hommes mûrs pouvant justifier d’un long parcours professionnel. Tous ont une origine péninsulaire : en effet, la monarchie craignait que des créoles n’aient d’accointances avec les élites locales et ne puissent alors défendre ses intérêts. A l’exception de Francisco Arce intendant interino à Cuba en 1803, pour les autres, il s’agit d’une première nomination en tant qu’intendant. Mais ils sont bien au fait des affaires coloniales. L’étude de l’environnement familial et relationnel des intendants doit permettre de révéler les mécanismes supposés favorisant leur nomination.

Les Bonavía sont fortunés et au service de la monarchie depuis plusieurs générations. La noblesse des Mangino, elle, est attestée depuis au moins 1639. Par son mariage, Francisco Arce est devenu le maître d’une hacienda ; son frère Juan est intendant au Venezuela et l’aîné des Arce est Inquisiteur général. Par ailleurs, Mangino et Bonavía, ont fait partie de la clientèle de José de Gálvez, à l’origine de l’implantation de l’intendance en Amérique. L’ascension de Francisco Arce est étroitement liée à la carrière de son frère, Ramón. Ce dernier, devenu en 1797 archevêque de Burgos et Inquisiteur Général, était un proche du favori Manuel Godoy. De son côté, Manuel Merino fut un proche collaborateur du vice-roi Pedro Garibay et de son successeur Francisco Lizana. Quant à Gutiérrez, il bénéficia des faveurs des vice-rois Garibay et Iturrigaray. Certes, notre étude est lacunaire mais elle laisse entrevoir le poids familial et relationnel dans le processus de nomination des intendants américains.

Auteur : Lacoste Marie-Pierre

L’exploitant d’un moteur de recherche sur Internet est selon la CJUE responsable du traitement qu’il effectue des données à caractère personnel qui apparaissent sur des pages Web publiées par des tiers. Lorsque, à la suite d’une recherche effectuée à partir du nom d’une personne, les résultats affichent un lien vers une page Web qui contient des données à caractère personnel, l’intéressé peut s’adresser directement à l’exploitant ou, lorsque celle-ci ne donne pas suite à sa demande, saisir les autorités compétentes en vue de l’obtenir, sous certaines conditions, la suppression de ce lien de la liste de résultats.

La directive 95/46, prévoit essentiellement la protection des libertés et droits fondamentaux des personnes physiques, tel que le fameux droit à la vie privée, en cas de traitement des données à caractère personnel et sans la mise en cause de la libre circulation de ces données. Le requérant dans cette affaire faisant valoir que lorsqu’un internaute introduisait son nom dans le moteur de recherche de « Google Search », les résultants de la recherche affichent directement des pages Web qui contiennent ses données personnelles. A partir de cette réclamation, M. Costeja Gonzalez demandait, en premier lieu, qu’il soit ordonné à la Vanguardia soit de supprimer ou de modifier les pages le concernant et qui sont en question afin que ses données personnelles n’y apparaissent plus, Il s’agissait pour la CJUE de savoir si l’activité d’un moteur de recherche peut être considérée de « traitement de données à caractère personnel » ?

La CJUE dans cette affaire qui a surpris l’ensemble des moteurs de recherches, a consacré l’existence d’une obligation pour ces derniers de supprimer, sur la demande des internautes, les données liées à leur nom dans une liste de résultats affichées. Il s’agit donc bien évidemment d’une simple consécration d’un « droit à l’oubli numérique », par la Cour. C’est donc le fait de garder les anciens dossiers professionnels qui peuvent faire l’objet des résultats d’une recherche sur le Web. La Cour rappelle, en outre, que les opérations visées par la directive doivent être qualifiées de traitement même lorsqu’elles concernent exclusivement des informations qui ont été déjà publiées dans la Média. Et selon la Directive, l’applicabilité territoriale de la législation nationale en matière de protection de données personnelles est néanmoins conditionnée et doit obéir à certaines conditions.

Auteur : Mohamed Saleh Abeih MOHAMED SALEH

L’utilisation massive d’herbicides pour améliorer la production et le rendement de l’agriculture peut avoir un impact sur des organismes initialement non-ciblés; particulièrement sur les espèces aquatiques et leurs environnements. L’atrazine fait partie des herbicides les plus utilisés dans le monde, bien qu’elle soit interdite dans l’Union Européenne. Dans ce travail nous avons étudié les potentiels effets de l’atrazine sur un petit poisson du Brésil : Le poisson chat néotropical (Rhamdia quelen). Nous avons exposé ces poissons à des doses croissantes d’atrazine (2, 10 et 100 µg L−1 ) pendant 96 heures, afin d’étudier l’impact de cette substance sur leur organisme. Les analyses au niveau du foie ont permis de détecter des lésions (Graph) ainsi qu’une atteinte du système immunitaire.

Nous avons également détecté une augmentation du nombre de mélanomacrophages. De plus, nous avons mis évidence une augmentation du nombre de cellules à chlorure dans les branchies et du magnésium plasmatique, traduisant un stress physiologique. L’activité de diverses enzymes (catalase, glutathion S-transferases, glutathion peroxidase et la glutathion reductase) impliquées dans la réponse à un stress oxydant, a également été favorisée par l’herbicide. L’ensemble de nos résultats souligne le danger potentiel d’un tel herbicide sur les organismes aquatiques, et ce, même à de très faibles concentrations. Il est important de noter que l’agence de protection environnementale du Brésil (CONAMA) à établi le seuil maximum d’atrazine dissous dans l’eau à 2 µg L−1 . Nos résultats indiquent que, même à ces concentrations, l’atrazine peut avoir des conséquences néfastes sur diverses fonctions physiologiques du poisson chat néotropical.

Auteur : Maritana Mela

Au cours du 20ieme siècles les populations de saumon Atlantique en Europe ont sévèrement déclinées. De par son importance économique et sociale, estimer les retours d’adultes de saumon Atlantique est un enjeu crucial pour les gestionnaires pour pouvoir comprendre la dynamique de ces populations et ainsi de déterminer les niveaux d’abondance nécessaires pour maintenir des populations durables. Chez le saumon Atlantique, les comptages d’adultes sont souvent très couteux car ils impliquent des infrastructures et des moyens humains important. De plus, quand ils sont disponibles, ces comptages d’adultes couvrent généralement des périodes de temps relativement courtes et récentes. Il s’agit donc de trouver un moyen d’accéder aux abondances d’adultes en rivière quand il n’y a pas de comptages directs.

Les comptages de frayères (le nid que la femelle saumon creuse pour déposer ses œufs) sont moins couteux que les comptages directs d’adultes et sont en général utilisés depuis plusieurs dizaines d’années dans les rivières à saumon. Bien que ces comptages ne soit pas une mesure exacte de l’abondance des adultes en rivière, il s’agit d’un bon proxy. Dans 2 rivières européennes (la Foyle, Irlande et l’Allier, France) nous avons développé des modèles mettant en relation les comptages de frayères et les comptages d’adultes permettant de prendre en compte des différences spatiales dans un même bassin versant ainsi que des éventuelles changements dans les procédures de comptages. Cette approche est suffisamment flexible pour pouvoir être transférée facilement à d’autres rivières.

Auteur : Guillaume Dauphin

Les empreintes environnementales permettent de quantifier l’usage des ressources naturelles ainsi que les émissions dans un système de productionconsommation. À la fameuse empreinte carbone (Carbon Footprint), s’est récemment ajoutée l’empreinte eau (Water Footprint) et l’empreinte terre (Land Footprint) dans une dite « famille » d’empreintes afin d’effectuer la comptabilité des gaz à effet de serre (en tonnes de CO2 équivalent), consommation d’eau douce (m3 ) et terres arables (hectares) nécessaires à la synthèse d’un produit.

Ces empreintes mettent également en valeur les ressources souvent invisibles aux consommateurs. Aux empreintes définies ci-dessus nous ajoutons l’étendue de la déforestation (hectares) et la quantité d’engrais (tonnes) appliquées pour la production de soja du Mato Grosso au Brésil. Depuis l’an 2000, cette région connait une augmentation importante dans sa production de soja, la plaçant au premier rang national. Ayant bénéficiée d’une capacité d’extension de sa surface de production par la transformation des terres, notamment la forêt tropicale et la savane (cerrado), la progression de la frontière agricole du Mato Grosso est très suivie par les scientifiques. Les années 2000 à 2010 montrent une évolution dans la valeur des empreintes. Cette évolution est principalement liée à la transformation des terres (2001 à 2005) et à l’intensification de la production sur les surfaces déjà transformées (2006 à 2010). Entre ces deux périodes distinctes, nous répertorions une baisse de 70% de la déforestation et de l’empreinte carbone, ainsi qu’une augmentation de 30% de la consommation d’eau, d’engrais et d’étendue de la surface agricole.

Les années 2000-2010 montrent également un changement dans les exportations du soja. Depuis 2006 la Chine dépasse l’Europe en tant que partenaire commercial numéro un du Mato Grosso avec les empreintes environnementales suivantes : 97 m2 de déforestation an−1 tonne−1 soja, une empreinte carbone de 4.6 tonne CO2-eq an−1 tonne−1 , une empreinte eau de 1908 m3 an−1 tonne−1 , une empreinte terre de 0.34 ha an−1 tonne−1 , et une quantité de phosphore (P) et potassium (K) virtuels de of 5.0 kg P an−1 tonne−1 et 0.0042 g K an−1 tonne−1 . La description de la production de soja par ses empreintes environnementales met en valeur non seulement les ressources appropriées indirectement par l’Europe et la Chine pendant les années 2000, mais également les vulnérabilités pour le plus grand producteur brésilien.

En effet, la consommation en eau dépend entièrement de la quantité et de la fréquence des précipitations (presqu’aucune irrigation n’est appliquée dans la région). De plus, les importations d’engrais (provenant de partenaires internationaux et dont les prix fluctuent) affectent considérablement les coûts de productions.

Auteur : Michael Lathuillière

Il y a quelques dizaines d’années, l’anguille était considérée comme une espèce nuisible. Cependant, ce statut à rapidement changé et elle est à l’heure actuelle placée sur la liste rouge des espèces en danger critique d’extinction. L’anguille a fasciné les scientifiques depuis plus de 2000 ans (Aristote, Historia animalium 343 BC). Aristote avait déjà noté l’ambiguïté du sexe chez les anguilles « On préfère parmi les Anguilles, celles que l’on appelle femelles, quoiqu’elles ne le soient pas ».

Il était également stupéfait par le fait que ces poissons ne produisaient ni lait, ni œufs et n’engendraient pas, ce qui l’avait amené à conclure que cette espèce mystérieuse naissait des entrailles de la terre. Contrairement à la majorité des mammifères, la plupart des poissons ne possèdent pas de chromosomes sexuels hétéromorphes (type XY/XX). Chez un grand nombre de poisson la labilité du sexe est extrêmement prononcée. Cela se traduit par le fait que le déterminisme du sexe peut être sous l’influence de variables environnementales (la température, le pH, la densité ). C’est le cas chez l’anguille où la proportion de mâle augmente avec le nombre d’individus présents en un lieu donné. On le constate en aquaculture (production de plus de 90 % de males) mais aussi à l’échelle des rivières (forte densité en aval corrélée à une grande proportion de mâles et viceversa). Dans notre récent article, nous avons étudié les facteurs qui régissent la destiné sexuelle des individus. Ainsi, les relations interindividuelles et la croissance ont été étudiées afin d’évaluer leur possible rôle dans le déterminisme du sexe.

Les individus qui présentent une bonne croissance à court terme (pendant les 6 premiers mois) deviennent mâles. La phase exponentielle de croissance des femelles se réalisant après. Les résultats acquis suggèrent également que la densité per se ne serait pas le facteur primordial influençant le déterminisme du sexe, mais plutôt l’estimation faite par les individus de la qualité du milieu. Ainsi, si le milieu est favorable à une bonne croissance à long terme (faible densité / faible stress / faible compétition), les individus asexués vont se développés en femelles. Ces savoirs sont importants pour les décisions liées au repeuplement, puisque ce dernier peut indirectement influencer le sexe ratio et ainsi, le succès des mesures de gestion de l’espèce.

Auteur : Benjamin Geffroy

Si un lotissement d’un kilomètre carré voyait la surface totale de sa pelouse transformée en potager, quelle serait sa production agricole et la consommation d’eau de cette production ? C’est la question que nous nous sommes posés pour un quartier de la ville de Vancouver (Canada) qui espère augmenter de 50% ses actifs alimentaires d’ici 2020, tels que les potagers et les jardins communautaires. L’article propose une méthodologie fondée sur la modélisation à haute résolution (1 m) de l’énergie solaire et la photosynthèse des plantes afin d’estimer la biomasse potentielle. En parallèle, un second modèle permet d’estimer la quantité d’eau nécessaire à cette production potentielle pour un quartier de la ville comprenant des espaces publics et privés.

Les résultats montrent que 37% des résidents pourraient obtenir leur besoin calorifique au sein même du quartier en considérant une production de 150 jours entre mai et octobre. Près de 1200 litres d’eau seraient nécessaires pour produire un kilogramme de haricot avec des différences observées en fonction de l’ombre créée par les structures urbaines et le paysage présentant ainsi des différences dans le rayonnement solaire disponible (voir photo). Enfin, compte tenu des restrictions actuelles de la ville vis-à-vis de l’arrosage des pelouses durant l’été, la
production agricole du quartier risque d’augmenter sensiblement la consommation d’eau. En effet, les potagers ne sont pas soumis à la même restriction d’arrosage et donc promouvoir l’extension de l’agriculture urbaine de Vancouver doit également considérer la consommation d’eau dans ses pratiques agricoles
urbaines.
Auteur : Michael Lathuillière

Le tourisme en pleine nature et l’écotourisme peuvent avoir des effets délétères sur le comportement des animaux. Nous avons analysé les conséquences de contacts prolongés et forcés avec l’homme en termes de survie et de dynamique des populations animales. Publié dans Trends  in Ecology and Evolution le 10 octobre 2015, nous incitons à prendre en compte les impacts négatifs de ce type de tourisme qui prône la conservation de la biodiversité et non son appauvrissement.

Ces dernières années, le tourisme en pleine nature et l’écotourisme ont pris un essor fulgurant et de récentes données ont montré que les aires terrestres protégées reçoivent actuellement plus de 8 milliards de visiteurs par an (soit plus que la population humaine sur terre). Ainsi, de nombreux animaux se trouvent en contact forcé avec l’homme. Au travers d’exemples tirés de la domestication (oies, poissons, vaches…) et de l’urbanisation (pigeons, écureuils…), nous montrons que les conséquences d’un contact prolongé avec l’homme dans la nature sont multiples. Principalement, les animaux perdent leurs défenses anti- prédateurs à court terme: d’une part, du fait de l’absence temporaire de ces prédateurs lorsque que l’homme est présent. D’autre part, un possible transfert d’habituation peut survenir : les animaux devenus téméraires (c’est à dire moins peureux) face à l’homme le sont également face à leurs propres prédateurs, affectant de façon drastique leur survie. Le phénomène de tourisme en pleine nature et l’écotourisme peut donc avoir des effets délétères sur le comportement des animaux. Il peut également affecter la structure des communautés animales avec des conséquences pérennes en termes de valeur sélective (fitness en anglais) et de dynamique des populations.

Cette étude révèle l’importance d’étudier les conséquences, à long terme de l’écotourisme et du tourisme dans la nature. De plus, la communauté scientifique et les propriétaires et/ou gestionnaires de réserve devraient prendre en compte les impacts négatifs de ce type de tourisme qui a pour but de promouvoir et d’améliorer la conservation de la biodiversité, et non de l’appauvrir.

Référence : How natureKbased tourism might increase prey vulnerability to predators. Benjamin Geffroy, Diogo S. M. Samia, Eduardo Bessa et Daniel T. Blumstein. Trends in Ecology and Evolution.

Les plaquettes sanguines au repos ont une forme discoïde due à un anneau périphérique de microtubules, appelé la bande marginale. Lors de l’activation plaquettaire des moteurs microtubulaires font glisser des microtubules pour élargir la bande marginale. Puisque l’espace disponible est limitée, la bande marginale est forcée à se tordre et impose ainsi une forme sphérique à la plaquette en activation. La contraction d’acto-myosine va ensuite comprimer la bande marginale en torsion et les microtubules nouvellement polymérises dans l’anneau comprimé vont raccourcir leur trajectoire initiale et former un anneau de microtubules plus petit.

Les plaquettes sanguines sont des petits fragments cellulaires en forme de disque. Elles circulent dans le sang pour surveiller l’intégrité vasculaire. En cas de blessure elles s’activent pour arrêter le saignement. L’activation des plaquettes se déroule en plusieurs étapes successives. Elles adhèrent à la paroi endothéliale endommagée et changent rapidement de forme pour devenir des sphères avec plusieurs extensions filopodiales. Puis elles secrètent des substances activatrices pour les plaquettes environnantes qui s’agrègent pour former un bouchon hémostatique. Leur forme discoïde au repos est due au cytosquelette qui forme un anneau périphérique composé de plusieurs microtubules, appelé bande marginale. Il a été supposé qu’en cas d’activation la bande marginale se contracte pour former un anneau plus petit permettant ainsi à la plaquette d’adopter une forme sphérique.

Cependant, une étude récente a montré que, suite à un signal d’activation, des moteurs moléculaires élargissent la bande marginale. L’espace étant limitée, la bande marginale est forcée à se tordre et impose ainsi une forme sphérique à la plaquette. Cette étude a jeté un regard nouveau sur le mécanisme  d’activation plaquettaire et pourrait indiquer des nouvelles stratégies thérapeutiques pour modifier la fonction plaquettaire en cas de saignement ou de thrombose.

Auteur : Diagouraga Boubou

Dans la nature, les animaux apprennent à associer entre eux les événements sensoriels perçus dans l’environnement. Ces apprentissages comprennent différents niveaux de complexité. Le niveau élémentaire implique des liens
simples et non ambigus entre les événements, par exemple quand une odeur donnée est associée à une récompense sucrée, tandis qu’une autre odeur ne l’est pas. Les apprentissages dits non élémentaires impliquent, eux, des liens
complexes et équivoques entre les stimuli. Par exemple, dans le protocole dit « d’inversion de consigne », les animaux apprennent lors d’une première phase à discriminer deux odeurs, l’une récompensée et l’autre pas, alors que lors d’une seconde phase, la règle est inversée.

Cet apprentissage est complexe car les liens odeurrécompense sont variables au cours du temps, et nécessitent de prendre en compte la dynamique temporelle de la consigne. Un autre protocole non élémentaire, appelé « conditionnement de la particule négative » consiste à récompenser une odeur seule mais pas le mélange de cette odeur avec une autre, dans ce cas, le renforcement est ambigu en fonction du contexte olfactif (odeur seule ou en mélange). Chez les mammifères comme chez les insectes, la capacité à résoudre ce genre de problèmes complexes nécessite des structures cérébrales particulières et spécialisées. Nous cherchons à identifier les réseaux de neurones impliqués dans ce processus chez l’abeille domestique en nous intéressant à une aire cérébrale appelée corps pédonculés, qui reçoit tous les signaux sensoriels captés par l’animal et grave les informations dans la mémoire centrale. En manipulant les corps pédonculés, nous avons montré que le blocage de neurones particuliers de ces structures (les « neurones récurrents ») entrainait une perte de la capacité à résoudre les problèmes complexes comme l’inversion de consigne ou la particule négative. Ces neurones forment une boucle de contrôle sur les corps pédonculés en y captant l’information nerveuse puis en revenant exercer une inhibition. En réprimant l’activité des corps pédonculés, ces neurones permettent de réguler finement les fonctions cérébrales afin d’adapter le comportement, et permettre la résolution de problèmes mentaux complexes. La spécialisation d’aires cérébrales distinctes à différents niveaux de complexité cognitive semble donc être une règle biologique générale dans le cerveau des animaux, mammifères comme insectes.

Auteur : Boitard Constance

 

Le paludisme est une infection causée par un protozoaire du genre Plasmodium. Il est responsable de plusieurs cas de décès dans les
régions de forte transmission palustre. Les enfants âgés de 0 à 5 ans, les individus vivant hors zones de transmission et les femmes enceintes sont les sous populations les plus à risque du paludisme. Chez la femme gestante, l’infection par Plasmodium falciparum est responsable des cas d’anémie maternelle sévère, d’avortement spontané, de retard de croissance du fœtus et de naissance de nouveau né avec un faible poids. Le facteur majeur dans la pathogenèse du paludisme gestationnel réside dans la capacité des globules rouges parasités (GRP) par les formes matures de P. falciparum, à être séquestré dans le placenta.

Cette séquestration est attribuée à l’interaction entre les protéines parasitaires exprimées à la surface des GRP et les récepteurs placentaires localisés sur les syncytiotrophoblastes. Parmi ces protéines parasitaires, la protéine VAR2CSA a été identifiée comme étant la protéine majeure exprimée par les parasites qui sont responsables de la séquestration des GRP dans le placenta. Dès lors, cette protéine parasitaire fait l’objet de plusieurs études visant à développer un vaccin à base de VAR2CSA qui empêcherait l’adhérence des GRP au placenta et protègerait ainsi la femme enceinte contre la séquestration placentaire. L’objectif d’un tel vaccin antiadhérence est d’induire des anticorps capables d’inhiber l’adhérence placentaire des GRP.

Une réponse anti-adhérence pouvant prévenir de la séquestration entrainera une élimination des GRP non-adhérents par la rate, prévenant ainsi la forte parasitémie et les symptômes cliniques graves issus des réponses inflammatoires du placenta. Mais la grande taille de cette protéine constitue un obstacle majeur dans son utilisation comme antigène vaccinal dans les conditions de ‘Bonne Pratique de Fabrication’ (BPF). L’autre défi avec cet antigène est de cerner le polymorphisme de ses séquences d’acides aminées, d’identifier les épitopes immunogènes et de savoir combien de variants antigéniques devraient être inclus dans un vaccin pour une efficacité optimale.

Toutefois, les résultats de nos récents travaux ont contribué à l’optimisation de ce candidat vaccin par l’identification d’un fragment minimal de la protéine VAR2CSA dans sa région Nterminal, contenant des épitopes protecteurs. De plus la combinaison de plusieurs variants de cette protéine sera nécessaire pour une activité optimale du vaccin. Par ailleurs, l’intégration de plusieurs moyens de préventions dans le cadre de la bonne prise en charge de la grossesse dans les régions où le paludisme est endémique, est nécessaire.

Auteur : Justin Doritchamou

Voici l’ensemble des congrès répertoriés par les différents chercheurs utilisateurs de JPaS. Vous pouvez choisir votre domaine de prédilection ainsi qu’un continent donné. Bonne navigation!

Singapour
– Congress of the Asian Society for Transplantation

Allemagne
– nternational Conference on X-ray Absorption Fine Structure (XAFS)

Angleterre
– XIII International Conference on Immunology

Brésil
– International Conference on Predictive Modelling in Food

Uruguay
– International Congress of Neuroethology

Afrique du Sud
– 14th Congress of the International Radiation Protection Association

Etats Unis
– IEEE Nuclear & Space Radiation Effects Conference

Japon
– 31st International Congress of Psychology

Ces chercheurs qui cherchent à chercher !!!

Il existe des individus qui consacrent de leur temps et de leur esprit à fouiller. Ils fouillent dans tout et n’importe quoi. De l’impact de la chaleur sur le comportement d’une fourmi borgne en Alaska à la formule mathématique qui permettra de mesurer le mouvement d’une vague.

La plupart du temps, ces découvertes ne changent apparemment rien à notre vie. Et le pire, c’est qu’aujourd’hui encore, certains fouillent en espérant trouver quelque chose à chercher…
Il faut dire que le passé donne raison à ces personnages compulsifs, combien de fois une découverte apparemment insignifiante a fini par sauver, modifier ou ôter des vies; du chewing-gum à la tablette tactile, du télégramme au satellite c’est bien une agglomération de trouvailles qui les ont permis. Pour ne citer qu’un court exemple ; on utilise aujourd’hui une molécule découverte chez les éponges pour traiter le cancer du sein, et quand on voit la tête d’une éponge…

Beaucoup de découvertes se sont faites au hasard, mais elles ont toujours pu être révélées parce que quelqu’un était prêt à regarder et à comprendre. Les chercheurs et chercheuses trouvent des choses à priori inutiles, qui combinées à d’autres découvertes, deviennent essentielles. Ce sont les découvertes d’hier qui ont fait le monde d’aujourd’hui, ce sont elles qui nous donnent le vocabulaire et le regard qui nous permettent de comprendre notre environnement.

La pratique et la recherche de développement permettent l’amélioration des moyens actuels, la recherche fondamentale permet quant à elle de conserver du recul sur ce que l’on sait pour l’instant en se tournant vers demain.

Quand nous croyions que la terre était plate, nous vivions réellement dans un monde avec des bords dont il ne valait mieux pas s’approcher. Jean Gabin dans sa chanson « Maintenant je sais », chante: Toute ma jeunesse, j´ai voulu dire « je sais », seulement, plus je cherchais, et puis moins j´savais [,,,] Maintenant je sais, je sais qu´on n´sait jamais!

Pour ma part cela me rend optimiste ; ceux et celles qui cherchent me rappellent que l’on n’en saura jamais assez, ce qui me laisse imaginer le monde comme un espace à explorer.
Je suis convaincu qu’en cherchant ou en suivant la recherche on peut développer un regard humble sur le monde, je crois aussi que les savoirs doivent être transdisciplinaires et formulables en termes clairs pour faire partie du quotidien.

Que l’on cherche une adresse pour le cadeau de sa cousine ou que l’on veuille tenter de comprendre le comportement social d’une anguille ; plus fort encore que le résultat, la démarche et le chemin parcourus sont riches de rencontres et de découvertes. Il me semble possible de voir ces gens qui cherchent comme des explorateurs-trices qui repoussent les limites du compréhensible et du possible.
La recherche ne doit pas être réservée aux chercheurs, elle ne doit pas servir à alimenter les conversations de quelques érudits pendant des colloques dans des tours d’ivoires. La recherche se doit d’être utile et connectée avec le commun des mortels ignorants la biochimie ou les processus de fissions des atomes. Elle le peut et elle le doit, d’abord ça lui apprendra à parler français, et surtout elle augmentera son potentiel de découverte par la multiplication des contributeurs potentiels.

Raphael Mellado, Sociologue

Présentation du journal

Le Journal participatif des Sciences (JpaS) comme tout journal scientifique est un lieu de partage et de découverte du savoir. A but pédagogique, vous trouverez dans ces pages des articles sérieux mais abordables par tous. Ainsi, afin de pouvoir rendre leurs recherches accessibles à leurs parents, leurs conjoints, leurs voisins et la société de façon plus générale, les jeunes scientifiques vous exposent ici leurs résultats plus ou moins originaux de façon simple, concise et correcte.

Suite à la prérogative dite du « qui est in, qui est out » introduite par Lucien Ginsburg, aucune sélection ne sera opérée en fonction du caractère « tendance/pas tendance » de l’article proposé. En ce sens, tous les articles soumis seront publiés en ligne et ce, dans tous les domaines. Néanmoins, le caractère sérieux du journal obligera les éditeurs à ne pas accepter des notes contenant des digressions sur la science, des plaintes ou encore des commentaires scabreux. Une section « controverses » permet tout de même d’exposer des idées scientifiques débattues.

A but non lucratif, ce journal doit permettre également de faire le lien entre les chercheurs et la presse généraliste.

Bonne lecture!

Format du journal

JPaS vous permet de diffuser vos résultats au plus grand nombre, de façon claire et concise. Il peut s’agir de résultats scientifiques non publiés ou bien encore d’abstracts approfondis rédigés en Français et correspondant à des articles publiés (le cas échéant, il existe la possibilité de fournir le DOI de l’article).
Nous conseillons néanmoins d’écrire, autant que faire se peut, sur des articles acceptés ou sous presse. En effet, de part leur caractère récent et novateur, ces types de notes ont plus de chance d’être choisis et mis en lumière par la presse généraliste.

L’auteur, dont le nom/prénom apparaitra à la fin de la note, peut également choisir de fournir ou non son adresse email.

Type d’article/note :

– 400 mots maximum
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